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In "Dziękuję Poldi!" geht Andreas Merkel, 52, dem lakonischen Gute-Laune-Phänomen Lukas Podolski im depressiven Funktionieren-Müssen-Hochleistungs-Business Profifußball nach. Inspiriert vom alternden Lieblingsfußballer sucht der Autor in seinem Buch nach Analogien zwischen Schreiben, Spielen & Leben.
Diese findet er auf einer Zugreise ins polnische Zabrze. Dort beendet Podolski die Saison mit dem alten Kult-Club Górnik ("Bergmann") und trifft sich mit Merkel. Bereitwillig zimmert er dem Autor (im Nebenberuf Torwart) ein paar Bälle auf die Hütte und spricht mit ihm über die großen Fragen ("Bücher? Les ich nicht."). Anderntags fühlt sich Merkel auf der Tribüne des Provinzklubs fast schon wie eine Mischung aus Richard Fords "Sportreporter" und David Foster Wallace' Bandana. An einem Montag fährt er mit neuen Erkenntnissen auf einer hochassoziativen Bahnfahrt in sein Buchprojekt zurück.