« Approchez braves gens, pour entendre l'histoire, Cette sombre litanie, qui vogue dans ma mémoire.
Soyez donc attentifs, prêtez-moi une oreille, Vous entendrez un conte, à nul autre paréil.
Eco n'a pas dix ans, son visage est bien blême, Mais c'est la vie pourtant, qui coule dans ses veines.
Une triste circonstance, par une nuit de démence, Changera à jamais sa paisible existence.
La fable est déplaisante, faites à votre guise, Sachez que toutefois, pleurer n'est pas de mise... »