Les auteurs proposent d’explorer les rapports complexes et contradictoires qui se nouent dans diverses formes éducatives, dans les fêtes, dans les activités sportives. Les études présentées ici concernent divers aspects de l’éducation et de la « culture » ; les analyses des petites écoles rurales, des universités populaires, de l’apprentissage de la coiffure portent sur des processus de transmission de savoirs, de savoir-faire, de valeurs. Mais elles les présentent comme des lieux de rencontre, donc d’interaction, entre des institutions, des groupes sociaux, des pratiques institutionnelles et des pratiques sociales enfin. De plus, ces interactions ne sont pas considérées comme des effets seconds des rencontres évoquées : elles sont constitutives des objets étudiés.