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Als Salvador Dalí 1939 zur Weltausstellung in New York den Pavillon "Traum der Venus" aufbaute, half ihm dabei - nicht nur finanziell - der britische Aristokrat Edward James (1907-1984). Dessen Vorfahren hatten ein riesiges Vermögen erwirtschaftet, das der illegitime Enkel von König Edward VII., ein ebenso schöner wie schöngeistiger junger Mann, gern in die Verwirklichung von Träumen investierte - seine eigenen und die der von ihm geförderten Künstler, u. a. René Magritte, Leonora Carrington und Dalí. Der New Yorker Pavillon wurde abgerissen, bis heute existieren dagegen andere "Traumhäuser" von James: Für Monkton House, das Jagdhaus des Familienanwesens West Dean, wurden das berühmte Mae West-Lippensofa und das Lobster-Telefon entworfen. Später schuf James im Urwald von Mexiko den Architekturpark Las Pozas mit himmelhoch ragenden Palast-Elementen in Dschungel-Gotik und exotischer Tierwelt. Das letzte Wohnhaus des Exzentrikers entstand wenige Jahre vor seinem Tod in Ligurien. Wie der Kunsthistoriker Hubertus Gassner, heutiger Besitzer dieser Casa Dante, in seinen kenntnisreichen Texten, begleitet von Bildern der Fotografin Amanda Holmes, zeigt, ist auch hier überbordende Fantasie zu Architektur geworden. Ein spannendes und im Wortsinn unfassbar reiches Leben blättert sich vor dem Auge des Lesers auf.