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Diskussionen über »den« Kapitalismus, die ihm innewohnende Kraft sowie die aus ihm resultierenden Probleme sind in unserer »Gesellschaft des Spektakels« allgegenwärtig. Und obgleich sich ein nicht unerheblicher Teil der politischen Eliten, der Medienmacher, Kirchenoberhäupter oder Jugendorganisationen zu einem nicht näher definierten »Antikapitalismus« bekennt, ändert sich de facto nichts an der Kapitalverteilung in dieser Republik. Warum das so ist, versucht Bruno Wolters in seinem neuen Buch zu klären. »Eigentum und Ordnung« ist kein umfassendes theoretisches Werk, das versucht, den Kapitalismus und dessen Wirkmechanismen in unseren spätmodernen Gesellschaften zu ergründen. Derlei wurde in Vielzahl geschrieben und publiziert. Vielmehr wirft Wolters einen Blick auf den Begriff des »Eigentums« - und liefert seinem Leser eine ideengeschichtliche Einordnung desselben. Er fragt: Was ist eigentlich »Eigentum«? Sind »Verstaatlichung« und »Vergesellschaftung« dasselbe? Wie haben rechte, linke und liberale Denker und Machthaber die Eigentumsverhältnisse gesehen und genutzt? Nicht zuletzt: Welcher Standpunkt müsste von einer vorwärtsdrängenden »Neuen Rechten« eingenommen werden?Was Wolters in seinem Band zusammenträgt, ist eine kurze Gesamtschau der Ideengeschichte der Eigentumsverhältnisse sowie ein Ausblick auf das, was uns noch erwartet. Kurze Fragen, kurze Antworten - Wolters klärt auf, ordnet ein und stiftet zum Weiterdenken an.