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Exiliado de su Palestina natal a los pocos meses de nacer, Elias Sanbar (Haifa, 1947) recrea en El bien de los ausentes, a través de episodios de tonalidades variadas, la presencia inmaterial de una Palestina vivida «desde fuera». Con la referencia siempre en mente de la casa natal en Haifa, perdida en 1948, el expatriado se entrega a su personal viaje por las mayúsculas de la lírica (Darwix), el cine (Godard), la actitud vital (Genet) o la revolución (Arafat y los fedayines). Frente al maremágnum de las cosas vistas, de las experiencias que combinan lo indecible y lo amargo, Sanbar se vale del sentido del humor, aliado ideal del que aguarda. Porque entre los palestinos predomina la espera, no la nostalgia. Lo cual no significa, no tiene por qué, la caída en el olvido o la renuncia a la justicia histórica. «Aunque se me considera un especialista en la historia contemporánea de Palestina -ha escrito Elias Sanbar-, soy ante todo un amateur que no soporta verse encerrado en una clasificación. No se trata tanto, claro está, de cambiar por cambiar, sino de enriquecerse por adición. Así, he participado en proyectos cinematográficos, traducido poesía, escrito ensayos... No cultivo la dinámica del "o": ensayo o narración, narración o autobiografía, sino la lógica del "y". El bien de los ausentes es la consecuencia de todos esos "íes".»