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Lo menos que se puede decir acerca de "El pubis de Astarté" es que se trata de una muestra de poesía herética (poheresía), y que los poemas que se incluyen en este libro han sido escritos para que funcionen como puntas de lanza contra el actual predominio de la usurpación y la infatuación narcisista, que son las dos piernas que sostienen al orden poético contemporáneo, tanto en su versión canónica (integrada por el catálogo completo de patologías identitarias) como en la vulgata cananea (la cual se define de manera exclusiva como corpus a partir de sus relaciones con un valor de mercado cuyo cálculo real resulta cada vez más abstracto). Quedaría instaurada, de esta manera, la figura de la gran diosa de la antigüedad bajo cualquiera de sus apelaciones (Afrodita, Anahit, Astar, Astarot, Astarté, Athar, Baalath, Démeter, Inanna, Ishtar o Venus) en el centro de una configuración simbólica que solo aspira a restablecer el antiguo prestigio que tuvo en sus días la magia antes de quedar desplazada por el nuevo orden que impusieron los hierofantes, es decir, la religión (antigualla vampiresca que requiere, como se sabe, periódicas transfusiones de sangre humana en su cuerpo cadavérico para mantenerse en vida), o su equivalente contemporáneo, cuya insospechada podredumbre se oculta bajo una apariencia anodina: la política. Así, desde los mismos márgenes de la odiosa lógica binaria que solo ha servido para generar exclusiones hasta los límites del monismo que amenaza con generar una espiral confusionista llamada a arrasar con todo el pasado de la humanidad, la poeheresía de G.C. Manuel (Manuel García Cartagena) nos conmina a reflexionar acerca de las bases culturales de este presente que parece pronto a desmigajarse en cualquier momento, sucumbiendo ante los portentosos ataques que reciben por todas partes las bases históricas de la tradición que lo sostiene.