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Hinter dem Dom, wo sich die Dächer der kleinen Häuser um enge Höfe zusammendrängen, verlieren die Gässchen ihre Richtung und weichen, von alten grauen Fronten beengt, vor plötzlich vortretenden Ecken zur Seite, steigen über Stufen hinab und hinauf, bis sie, auf allen Seiten von den Häusern umstellt, in irgendeinem Winkel enden. In diesem innersten Kern der Stadt hat die neue Zeit, die an der Erweiterung des Umkreises arbeitet, noch nichts geändert, und unter dunklen Torbogen, in düsteren Nischen, vor deren schwarzen Heiligenbildern zitternde Lämpchen brennen, kauert die Vergangenheit. Die Stufen, an denen die Häuser hinabsinken und emporsteigen, sind von vielen Tritten glatt und schlüpfrig geworden, dass die alten Weiblein zur Winterszeit nur zaghaft und unter Stoßgebeten zum Dom zu gehen wagen. Was an Freude und Leid über diese Stiegen getragen wurde, hat gleichermaßen an den runden Löchern in ihrem Granit gearbeitet, in denen nach sommerlichen Regengüssen kleine Wasserlachen stehen und im Winter länger als anderswo Eiskrusten knistern. Versonnen und manchmal ein wenig verdrießlich sehen die alten Häuser aus kleinen Fenstern nach den wenigen Menschen, die hier mit Bedacht über das holprige Pflaster gehen, als hätte die Hast und Unruhe, die dem Domberg vorbeibraust, noch keine Macht über sie. Man sieht hier sehr viele alte Leute. Das Leben scheint sich in diesen stillen krummen Gässchen länger hinzudehnen als anderswo.
Inhaltsverzeichnis 1. Teil: Die würgende Hand 2. Teil: Höllenfahrt