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Welchen Einfluss haben die Identität und die Familiengeschichte von Künstler*innen auf ihr Werk? Wohin führt eine von einem vererbten Trauma getragene künstlerische Verbindung? Lotte Laserstein (1898-1993) und Emmanuel Bornstein (*1986) verfügen über solche Bande, die geknüpft wurden von Bornsteins Großmutter, einer Résistance-Kämpferin, die wie Lotte Laserstein Jüdin war und das NS-Regime überlebt hat. Bornstein hat Lasersteins Werke zufällig, ohne Wissen von dieser Gemeinsamkeit, entdeckt und war sofort fasziniert: "Es war genau das, was ich seit Jahren versuche zu machen!" Tatsächlich bestehen Parallelen zwischen den uvres - in beiden kommen wartende Menschen und Blumenbouquets vor, ein melancholisches Moment, eine subtile Bedrohung schwingt mit. Da sind aber auch Diskrepanzen, die eine Gegenüberstellung der Werke erst spannend machen: Bornsteins omnipräsentes giftiges Kadmiumgelb vs. die gedeckten Töne bei Laserstein, der Farbauftrag, die Pinselführung. Jedenfalls ist den Künstler*innen gemein, dass ihnen in gefährlichen Zeiten Schweden zur Wohnstatt und die Malerei zur einzig wahren Heimat wurde. Dieser Katalog ist ein Fest ihrer künstlerischen Einkehr.