Enfin
« Enfin est incontestablement la fin de l'éducation de Patrick Melrose, de ses conséquences désastreuses et de ses tentatives désespérées pour se libérer de ces conséquences. Cette histoire est finie, mais cela ne signifie pas que je ne vais pas un jour réutiliser les personnages. [...] Après tant de temps passé à les créer, il est dommage de s'en séparer. » (Edward St Aubyn)
« La particularité des romans de St Aubyn tient à la manière dont les souffrances personnelles se trouvent contrebalancées par un art de la comédie sociale. " J'alterne entre ces deux choses, dit-il, et j'ai le sentiment qu'il serait faux de ne s'en tenir qu'à l'un ou à l'autre. Mais le rythme est complètement instinctif. J'ai suffisamment été en prise à l'angoisse, je vais donc de l'avant. " » (Stephen Moss, The Guardian)
« St Aubyn saisit avec mordant la vanité, la cupidité, l'esprit et l'hypocrisie des classes dominantes. [...] Enfin porte à son point culminant une remarquable entreprise littéraire : l'histoire brillamment contrôlée d'une vie jusqu'alors hors de contrôle. » (Peter Kemp, The Sunday Times)
« Sans doute une des plus grandes réussites de la fiction anglaise contemporaine. Une écriture cinglante à souhait et extraordinairement drôle. » (David Sexton, Evening Standard)