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Creemos que este Epistolario, al contribuir a un mejor conocimiento de ese gran ser humano que Vallejo fue, y mostrarlo a veces en sus instantes de mayor desvalimiento, ayudará a dar relieve más firme, más seguro bulto al monumento de su ser entero y complejo; aquel que sin ser notado apenas en su París cotidiano, fundía en silencio sus dos materiales radicales: el de su América peruana y primera, y el de su España abuela y nieta, su novia de los días buenos, que iba a ser su última visión de este mundo. Porque a España nos dijo que se iba al embarcar el Clavileño de su ataúd. Era entonces España, ensangrentada y convulsa, la llaga que le quedaría en el costado y que ya no vería cauterizar. Fue aquel su dolor de España la última esperanza que se mezcló a los últimos y más íntimos dolores del cuerpo y del alma. Ya sólo eso sería razón bastante para que alguien aquí hiciera el esfuerzo de reunir sus cartas; éstas que hoy publicamos ilusionadamente.