La transe informatique saisit l'architecture.
La boussole s'affole, pousse à l'irrationnel.
Un doute s'installe.
La raison capitule.
Le ghetto périclite.
Ses nouveaux territoires sont ceux de l'illusion.
En nappes, en plis, en ondes, en flux, des mailles s'inversent et se renversent, se nouent et se déroulent dans la continuité.
C'est « L'effet Archilab ».
Surfer est un plaisir, mais il faut habiter. Dans ses somptueux réseaux, l'homme doit prendre place, maîtriser son errance,
Vivre en « Open Limit ».