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Es sabido que el autor de El énico y su propiedad fue, como pocos, hombre de un solo libro. La producción de Stirner, al margen de su obra capital, se limita a la correspondencia de prensa, algún panfleto de ocasión y unos pocos artículos en revistas. Entre esos escritos menores hay, sin embargo, algunos que aún merecen nuestra atención: útil, tal vez indispensable para el buen entendimiento de El énico es la réplica a «Los recensores de Stirner»; otros ilustran, cuando menos, el camino que lleva a nuestro autor del más bien modesto liberalismo de los jóvenes hegelianos de 1842 hasta el desengaño radical de El énico, así como sus tomas de posición ante las cuestiones de actualidad política (en particular, los acontecimientos revolucionarios de 1848 y los debates sobre la reorganización de los Estados, de la industria y del comercio que suscitaron). Algunas de esas páginas acaso conserven aún una cierta vigencia crítica en nuestros días.