Et jusqu'à la dernière pulsation de nos veines... se veut comme un acte de solidarité d'un Antillais avec la lutte du peuple palestinien, une pièce écrite <
C'est donc une oeuvre s'avouant partisane, mais qui cependant ne se fourvoie jamais dans un manichéisme simplificateur... Elle dénonce en effet les manoeuvres criminelles du sionisme dirigées contre les Palestiniens ; elle rappelle en même temps qu'en Israël, des Juifs - encore minoritaires, c'est vrai - luttent et rejoignent, concrètement, dans leur combat le combat du peuple palestinien... Mais elle dénonce aussi, cette pièce, les massacres des Palestiniens en Jordanie (Septembre 1970), répétition générale des massacres récents (Tell el Zaatar, Liban, août 76)...
Visages et masques, mannequins et marionnettes, danses et mimes, diapositives et chants, poèmes et statistiques... Mélange baroque. Pièce produite pour dénoncer. Pour honorer.