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«Porter plainte à la première gifle» Procureur Éric de Montgolfier En France, tous les deux jours et demi, une femme tombe sous les coups de son conjoint. Les violences conjugales sont la première cause de mortalité chez les femmes de seize à quarante ans. Avant le cancer, avant les accidents de la route. Nice. Au début de l'année scolaire 2009, une collègue de Sarah remarque que la jeune femme tente de cacher sous sa blouse de travail des traces d'ecchymoses et de brulures. Horrifiée, elle lui demande d'où viennent toutes ces blessures. Sarah craque : «C'est mon mari. Je n'en peux plus... Il va me tuer un jour ou l'autre.» Deux heures plus tard, prise en charge par une petite association niçoise, Sarah est amenée au commissariat de police. Ce qu'elle raconte alors, c'est l'histoire d'une véritable descente aux enfers. Sa nuit de noces, qu'elle a passée au pied du lit parce que Fred, son mari, lui reprochait d'avoir dansé avec un autre homme, le véritable tribunal qu'elle subissait chaque soir, la ritualisation de la barbarie, le regard de ses enfants, jusqu'au danger de mort auquel elle était exposée. À peine cinq semaines plus tard, au terme d'un procès, le mari est jugé, condamné à trois ans de prison ferme, cinq ans d'interdiction de circulation dans les Alpes-Maritimes et cinq ans de destitution de ses droits civiques. Ce témoignage-choc, commenté par le psychiatre Roland Coutanceau, est suivi d'un entretien avec le procureur Montgolfier. Séparation-Info-Service est présidée par CorinnePeirone. www.separationinfoservice.org