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Après que Nicolas Bouvier ait reconnu en lui un cousin à l’âme voyageuse (« Vous êtes comme moi un petit neveu de Conrad »), que Charles Bukowski l’ait élevé à la dignité de « voleur d’âmes », et que Denis Grozdanovitch (qui préface ce livre) ait trouvé en lui « un frère en écriture », Jean-François Duval emboîte le pas à quelques excellents moralistes, de Sénèque à Woody Allen. Son nouveau livre s’inscrit dans la même lignée que ceux de Philippe Delerm, Pierre Sansot, Denis Grozdanovitch, André Comte-Sponville, etc.Jugeant que notre situation à tous, aujourd’hui, ne diffère pas tellement de celle de Robinson Crusoé, l’auteur s’attache à récolter sur les plages du présent quelques vestiges et débris de nature à bâtir un canot de sauvetage, voire une nouvelle arche. Dans celle-ci, on trouvera pêle-mêle un chien qui se prend pour la flèche de Zénon, le sein des femmes quand il aide à l’endormissement des hommes, la divine musique des parquets, le football quand il se fait chanson de Roland, un savon plus facétieux que celui de Ponge, un employé de banque aussi mort qu’un épouvantail, un mâle aux prises avec une chaise gynéco, une étourderie de Jean Echenoz, la Crise dévorée par le Chat botté, un éloge de l’expression « Tu m’étonnes », et quelques points de vue extraterrestres. Bref, à l’heure où tous les « grands récits » ont sombré, tout le kit nécessaire pour réenchanter un peu le monde, ou au moins donner à notre quotidien les couleurs d’une fable minimaliste. Avec humour, poésie et une indispensable fantaisie.