Été 1914
Les taxis parisiens, ferments de l'union sacrée
- Il faut que vous partiez. Secret absolu.
Le gouverneur veut 1 200 taxis, conduits par deux officiers, rendus à 2 heures du matin à Tremblay...
Je n'en ai trouvé que 150.
- Bon, 150 ne font pas 7 200. Qu'est-ce qu'il veut en faire ?
- Je ne sais pas, mais c'est sûrement une opération de guerre.
- Alors je vais m'équiper.
- Vous n'en avez pas le temps. On part à minuit et demi !