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Josip Stritar hat sich mit der Gründung der Literaturzeitschrift Zvon 1870 und 1876 bleibend in die Literaturgeschichte eingeschrieben. Er war der erste Interpret der Poesie von France Preseren, die er auch ins Deutsche übertrug. Neben Preseren erklärte und übersetzte er Jenko, Levstik. Josip Jurcic öffnete ihm die Augen für die Weltliteratur. Auch wenn er in Wien/Aspang lebte, seine Sprache war richtungsweisend, obwohl sie sich zeitweise in pathetischen Anklängen zu gefallen schien. Hoch anzurechnen ist ihm, dass er nicht dem damaligen Trend des Panslawismus verfiel. "Etwas von Peter Einsam ist die kaum einen Bogen umfassende Broschüre, die kürzlich in Wien erschienen ist. Inhalt: »Das Fest der ´goldenen Herzen´« und »Der Armenball«, worin der Autor - wer mag wohl seinen richtigen Namen erraten - die soziale Not behandelt. Bitter zwar, wie dies nur einer unter unseren Schriftstellern kann", lesen wir 1894 im Ljubljanski zvon (14. Jahrgang, Nr. 4). Beim Lesen der Verse fühlt man sich unweigerlich ins Heute versetzt.