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London als Fluchtort für Künstler:innen, Fotograf:innen und Architekt:innen in den 1930er und 1940er JahrenLondon war in den 1930er und 1940er Jahren eine Metropole des künstlerischen Exils und ein Ort der Zuflucht vor nationalsozialistischer Verfolgung. Exilierte gründeten Galerien, Verlage und Zeitschriften, sie kooperierten mit lokalen Künstler:innen, organisierten Ausstellungen, verbanden sich in Netzwerken. Das Buch Exil London widmet sich dem vielfältigen Wirken von Emigrant:innen aus Kunst, Fotografie und Architektur in Auseinandersetzung mit ihrer Exilstadt. Wie veränderte sich die Kunstszene durch die Ankunft der Exilierten? Welche kulturellen Infrastrukturen wurden aufgebaut? Wie prägten die Exilerfahrung und die Stadt selbst das Werk der Emigrant:innen? Exil London behandelt neben bekannten urbanen Räumen wie dem Hyde Park auch ungewöhnliche Orte wie den Londoner Zoo, das Krematorium Golders Green, die Finchley Road, das Haus des Architekten Ernö Goldfinger als Ausstellungsort, das Wohnhaus des Psychoanalytikers Sigmund Freud oder die Straßenmärkte der Stadt. Kunstwissenschaft, Stadt- und Exilforschung sind im Buch dynamisch aufeinander bezogen und leisten gemeinsam einen Beitrag zu einem neuen Verständnis der Kunstgeschichte der Moderne.