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Der Kommentar umfasst den ersten Teil des Buches Exodus, Kapitel 1,1-15,21. Er nimmt einerseits den überlieferten hebräischen Text in den Blick und legt ihn "synchron" nach literaturwissenschaftlichen Methoden aus. Andererseits werden "diachron" die literargeschichtlichen Vorgänger-Kompositionen rekonstruiert und nach ihrer historischen Funktion befragt. Eine abschließende Synthese reflektiert das Verhältnis der beiden Auslegungsweisen, greift aber auch auslegungsgeschichtliche und aktuelle Fragestellungen auf. Am Anfang der Literargeschichte steht eine Kampfschrift gegen politische Vasallenschaft, die im Verlauf von 250 Jahren vier Mal umgestaltet und erweitert wurde. Das Ende bildet eine Erzählung, die den Herrschaftswechsel vom Pharao zum Gott Israels in höchster dramatischer Zuspitzung darbietet und so das zukunftsoffene Paradigma einer freiheitlichen politischen Theologie entwirft. Mit der Auslegung des Auszugs Israels aus Ägypten geschieht zugleich der Auszug aus der historizistischen Suche nach dem historischen Kern der Erzählung.