Florian professait qu'il est, en matière d'écriture, un principe souverain : l'art de « conter gaiement ». Chacune des pièces du petit recueil qu'il publie en 1789 est donc une véritable fête de l'esprit. Les animaux, les hommes, les dieux mêmes se combattent, s'entraident parfois en une série de tableaux vivants dont la modernité étonnera le lecteur d'aujourd'hui.