"Les photographies de Géraldine Lay sont une attente ; on se
demande ce qui va suivre et, de fait, ce qui a précédé. De là naît
une douce mélancolie qui, de déclic en déclic, nous dépose sur
une surface intime où l'on cherche notre reflet d'existence. [...]
Comment se fait-il que nous ne puissions voir, seuls, ces pannes
du mouvement ?"
Jacques Damez