Dans ce cinquième tome des journaux du grand écrivain suisse vivant à Paris, on trouve de magnifiques portraits d’écrivains, des récits de rêves et rêveries ou des miniatures de villes invitant à un départ immédiat – mais aussi l’évocation de la souffrance ressentie par l’auteur quand il écrivait La Fourrure de la truite, ou encore celle d’une douloureuse séparation amoureuse. L’écriture, elle, est toujours lumineuse et triomphante.