Or donc, à travers le tronc et les rameaux de ce chêne robuste, grimpent et serpentent, comme autant de lierres modestes, les jeunes poètes qui viennent, chétifs et timides, s'abriter sous le couvert du génie et de la gloire.
Voilà pourquoi nous avons baptisé de ce nom : Feuilles de lierre, notre humble gerbe poétique.
Ferdinand Fabre.
Paris, le 1er février 1833.