« Denis Dailleux est le digne photographe de l'Égypte qui vaut d'être aimée. Fragile et menacée, peut-être déjà mourante, elle reçoit de son art un écrin d'une rare délicatesse, et surtout d'une grande intensité. Tout y est. Tout ce qui, si humain, si dense et généreux, contraste avec le grand musée parisien ou l'une de nos autres villes mortes. [...] Tout ce qui, soudain, fait chavirer d'émotion, trouver beaux les paysages, les rues et les passants que l'on croise. Tout ce qui fait aimer encore l'Égypte. »