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Der vorliegende Band setzt die mit 'Mehr Geld' (Berlin 2008) begonnene Analyse und Prognose zur andauernden Finanz- und Politikkrise fort. Wenn Schulden Forderungen sind, dann müssen die Kredite weiter wachsen, um die Vermögen zu erhalten. Nach Industrie und Konsumenten bleiben Staaten und Notenbanken als letzte Kredit-Nehmer und Geld-Schöpfer. Sie müssen sich opfern, heisst es, um die Vermögen zu retten. Andere Lösungen sind möglich. Wir können eine andere als die gegenwärtige Welt fordern. Sie ist weder die beste, noch die einzig denkbare. Aber wel¬ches 'wir' ist es, das die¬se Welt fordern kann? In welcher Erzählung erfin¬det es sich? Andere ökonomische und politische Ordnungen lassen sich mit und ohne Marx auf der Grundlage jüngerer Wirtschaftstheorien denken, im Kapitalismus oder gegen ihn, und mit den Techniken und Medien unserer Zeit. Vielleicht ist Geld dann nicht mehr das Mittel der Wahl, um Arbeit und Güter gut zu verteilen.