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Dans la nuit du 25 au 26 novembre, Vincent tombait d'un troisième étage en jouant au parachute avec un peignoir de bain. Il a bu un litre de téquila, fumé une herbe congolaise, sniffé de la cocaïne. Le retrouvant inanimé, ses camarades appellent les pompiers. Vincent se redressa brusquement, marcha jusqu'à sa voiture, démarra. Les pompiers le coursent, s'engouffrent dans son immeuble, montent avec lui dans l'ascenseur, pénètrent dans sa chambre, Vincent les injurie. Il dit « Laissez-moi me reposer », eux : « Andouille, tu risques de ne jamais te réveiller. » Dans la chambre d'à côté, ses parents continuent de dormir. Vincent a foutu les pompiers dehors. Il s'est endormi comme un charme. À neuf heures moins le quart, sa mère le secoue pour l'envoyer au travail, il ne peut plus bouger d'un pouce, elle le transporte à l'hôpital. Le 27 novembre, prévenu par Pierre, je rendis visite à Vincent à Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours. Deux jours plus tard il mourait des suites d'un éclatement de la rate.