La vie sauvage comme source de quiétude, de sagesse et de concorde est au cœur de la réflexion, de la philosophie et de la quête de l’océanographe François Sarano. Il en est convaincu : celui ou celle qui peut échanger avec un cachalot ou tout autre animal, ou qui essaie de le faire, saura communiquer et partager avec des hommes et des femmes d’autres cultures, d’autres religions. C’est son cap, son “étoile polaire”. Il nous livre un manifeste pour l’océan et l'humanisme, pendant marin de l'appel de Pierre Rabhi pour la Terre et l'humanisme.