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“Entre 1965 et 1975 il y a eu ce moment en Amérique où les barrières semblaient tombées, les frontières ouvertes, les institutions en déroute. Dans cette faille s’est immiscé ce qu’on a appelé la presse alternative. Grover Lewis n’a passé que trois ans (71-73) au magazine Rolling Stone, mais il en a été l’anti-héros le plus crucial, sinon le plus flamboyant. Spécialiste du reportage en immersion (souvent imbibée) sur les plateaux de cinéma, ce Texan renégat, hanté par un passé tragique, a marqué à jamais le journalisme avec une poignée d’articles sur Charlie Parker, Lightnin’Hopkins, Robert Redford, Paul Newman, Jack Nicholson, Sam Peckinpah, Robert Mitchum ou les Allman Brothers, dont certains ne se remirent jamais tout à fait. Le premier article de Lewis dans Rolling Stone, un long et personnel récit sur le tournage de La dernière séance, a tout bonnement changé ma vie, m’encourageant à suivre des voies pas toujours sûres dans ce qu’il faut bien appeler mon journalisme. Si quelqu’un pouvait publier sept pages sur un tournage au milieu du Texas, je voulais en être moi aussi. Je ne savais pas encore que Grover Lewis deviendrait aussi mentor et ami. Et maintenant mon sujet. Lewis étant mort avant d’avoir pu écrire son histoire, et le livre qu’on attendait de lui, Freelance est aussi une façon pour moi de remplir une autre sorte de contrat.”