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Vom Flüchten und Ankommen, von Sehnsüchten und Hoffnungen: das neue Stück von Peter Turrini.
Das "Fremdenzimmer" muss frei bleiben Das fordert Herta Zamanik, Mindestrentnerin, 62 Jahre alt, zum Leidwesen ihres Mannes Gustl, dem frühpensionierten Briefträger. Denn Hertas Sohn ist seit Jahren verschwunden, und sie will und kann die Hoffnung auf eine Rückkehr des verlorenen Jungen nicht aufgeben. Doch auch sonst führen die beiden ein eher tristes Dasein in einer kleinen Wohnung in der Peripherie von Wien. Sie haben sich auseinandergelebt über die Jahre, von gegenseitiger Liebe und Geborgenheit ist nicht mehr viel übrig geblieben.
"Dass einer, der unsere Sprache nicht versteht, mich versteht, das versteh ich nicht." Eines Tages steht plötzlich der 17-jährige Samir im Wohnzimmer des Rentnerpaares, ein syrischer Flüchtlingsjunge, der offenbar auf der Flucht vor der Polizei ist und Unterschlupf sucht. Zunächst begegnet das Paar ihm mit Argwohn und den verbreiteten Vorbehalten. Bald schon aber scheint es, als würde Samirs Anwesenheit Herta und Gustl einander wieder näher und Wärme in das Leben der beiden bringen.
Subtile Auseinandersetzung mit der Flüchtlingsthematik In seinem neuesten Stück schreibt Peter Turrini über das Fremdsein im eigenen Haus und das Vertrautwerden mit der Fremde. Auf subtile Weise greift er die Flüchtlingsthematik auf - und zeigt, dass man sich oft besser versteht, wenn man nicht dieselbe Sprache spricht. Und wie schließt man die kulturelle Kluft zwischen Wien und Syrien? Am besten mit einer Partie Bauernschnapsen!