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Der hoch geachtete Kurator Jens Pedersen Gedelöcke aus Kopenhagen empfängt im Jahr 1731 am Krankenbett nicht die Vertreter seiner evangelischen Kirche, sondern seinen jüdischen Freund Henrich Israel, Vorsänger in der örtlichen Synagoge. Der Ehefrau Gedelöckes bereitet dieser Umgang ihres Mannes Gewissensqualen, und sie ruft die Geistlichkeit zur Hilfe, die nach dem Tod des Kurators tätig wird: "Die halbe Stadt Kopenhagen ist vors Verhör gezogen, und die geistlichen Herren haben natürlich das letzte und das höchste Wort gehabt und klar dargetan, daß Jens Pedersen Gedelöcke nicht als ein gläubiger Christ, sondern als ein ungläubiger Jud gestorben sei, daß ihm nicht gebühre ein christlich Begräbnis, sondern ein Eselsbegräbnis." Und so entspannt sich eine kleine Groteske um die Beisetzung des vermeintlich Abtrünnigen, aus der niemand ohne Blessuren hervorgeht.Die 1866 verfasste Erzählung basiert auf einem historischen Fall, der sich tatsächlich in Kopenhagen zugetragen haben soll. Anschaulich demonstriert Wilhelm Raabe darin die Folgen eines engherzigen Fundamentalismus in religiösen Dingen - übrigens auf christlicher wie jüdischer Seite.