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Der jüngste Gedichtband von Elke Erb beginnt mit einem älteren Text, "Die Olympiade" von 1970, wie alle Texte in diesem Buch im Sommer, den Elke Erb jeweils in Wuischke verbringt, "aus dem Tagebuch geholt" und hier zum ersten Mal veröffentlicht: "Jammerschade, dass es nicht gelingt, diesen Traum zu erzählen ..." Das letzte Gedicht, "Das mit dem Baum" vom "12.12.18, halb sieben", ist den Bäumen gewidmet: "Sie werden mich übersterben. / Meine Handflächen meinen: Schade um sie." Von Traum zu Baum, dem Faden der Geduld entlang, mit dem Elke Erb das Alltäglichste und das Wunderbarste miteinander verbunden hat. Das ist "Poesie": "Ich sagte plötzlich beim Frühstück mit den beiden hier auf dem Land: / Man ist ja irgendwie immer elf, und Geli: stimmt, sie sei immer 12. / Ei!"