Sylvestre Clancier poursuit dans le présent recueil, sa quête d'une vérité toujours insaisissable liée à la nostalgie du jardin perdu de l'enfance. Après Rilke et ses Quatrains valaisans, il a choisi, lui aussi, la forme des quatrains et la rime pour chanter son Limousin natal. Les poèmes rassemblés ici forment en quelque sorte le pendant de ceux qu'ils réunissaient dans un précédent recueil, Une Couleur dans la nuit, symbole pour lui de la poésie.