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Wielands herrlich komisches Märchen in der Originalfassung
Die Geschichte des Prinzen Biribinker ist Christoph Martin Wielands berühmtestes Märchen. Sie findet sich in seinem Roman Der Sieg der Natur über die Schwärmerey, oder die Abentheuer des Don Sylvio von Rosalva, wurde seither jedoch viele Male einzeln veröffentlicht. Nun liegt Wielands herrlicher Erzählspaß erstmals in einer Edition vor, die buchstaben- und zeichengetreu der ersten Ausgabe folgt.
"Da haben wir also eine dieser Feen, diesmal eine, die unserem Prinzen eine Lektion in Liebeskonversation erteilt. Als er ihr vorschwatzt, er wünsche sich im Leben keine andere Glückseligkeit, als zu ihren Füßen 'von dem Feuer verzehrt zu werden, das ihr erster Blick' in seiner Brust entzündet habe, erwidert sie kühl, 'sie haben einen schlimmen Lehrmeister in der Redekunst gehabt; Ich hätte gedacht, die Fee Cristalline sollte ihnen die lächerliche Meynung benommen haben, daß man uns Unsinn vorsagen müsse, um uns die Heftigkeit seiner Leydenschaft zu beweisen.' Sie wünscht ihn also durch ihre Vorgängerin in Sachen Liebeskunst oder sagen wir: -konversation zureichend vorgebildet, um ihr gefallen zu können. Doch nun muss sie es in die eigenen Hände nehmen. Am anderen Morgen sagt sie: 'Das Schicksal, mein lieber Biribinker, hat sie dazu ausersehen, sich unglückliche Feen verbindlich zu machen.' Wie schön, nicht wahr?" Aus dem Nachwort von Jan Philipp Reemtsma