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L’auteur traite magistralement l’envers du décor, en faisant avec humour, dans un style poétique de grande classe, une vigoureuse satire de la société : trompeuse apparence des soirées familiales ; Me Ségur, les yeux sur la Gazette du Palais pense qu’il reste des chemins de traverse à ceux qui ont manqué le départ - impatience de la jeunesse oubliant que le sage marche en avant à travers sa mémoire - ridicule de ceux qui se croient du génie et ne sont qu’incompréhensibles - vanité du petit homme , mendiant des décorations qu’il prétend avoir méritées - la course aux Présidences, cette plaie du siècle — les avocats, face au Tribunal comme le matador dans l’arène - les avoués, poseurs de banderilles - les Juges... - les notaires, vraies lettres mortuaires - la Justice sévère surtout pour les pauvres diables - la clientèle du prétoire : l’oie grasse, le paon, le dindon, le porc, le pigeon déplumé ; hommes ou bêtes ? — l’orgueil qui dévore les hommes : que de noms dans le marbre si l’on pouvait, que de statues équestres si l’on osait... la constitution parfaite qui serait celle qui obligerait les élus à se contenter strictement du minimum vital — le remords social de ceux qui ont le ventre bien garni. Mais, campé fièrement au milieu de cette société, l’artiste, sous son manteau cache-misère, cherche à donner aux foules un peu d’idéal. Et tout au long de l’ouvrage, la poursuite de l’amour impossible.