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Vom Winter 1941/42 bis zum folgenden Juni fuhren zwei Männer in einem Lastwagen jeden Tag von Belgrad nach Jajinci: Götz, der Fahrer, und Meyer, der Beifahrer. Hätten sie nicht unterwegs angehalten und das Ende des Auspuffs mit einer Öffnung im Boden des Kastens verschraubt und wäre der Kasten nicht voller Juden gewesen, niemand hätte sich später dafür interessiert.Der Erzähler aber, ein Belgrader Lehrer, interessiert sich dafür, weil auf dem Lastwagen auch seine Verwandten waren. Er beginnt zu recherchieren, wühlt in Dokumenten, versucht zu begreifen. Je näher er dem Wissen kommt, desto ferner ist er ihm; je mehr er sich Götz und Meyer vorzustellen sucht, desto schemenhafter werden ihre Gesichter. In der Besessenheit und Verzweiflung seines Erzählers spiegelt David Albahari mit subtiler Meisterschaft die höhere Wahrheit der Literatur: Nicht in der Objektivität des Faktischen wird das Grauen des Holocaust begreiflich, sondern in der Macht und Ohnmacht der subjektiven Erinnerung.