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Der Vater von Mimi Schwartz wurde dreißig Jahre vor dem Aufkommen der Nationalsozialisten in einem kleinen deutschen Dorf als Jude geboren. Damals, so erzählte er ihr, "kamen wir alle miteinander aus". In der Erstausgabe ihres Buches "Good Neighbors, Bad Times" untersuchte Schwartz, welche Bedeutung menschlicher Anstand unter christlichen und jüdischen Nachbarn während und nach der NS-Zeit hatte. Zehn Jahre nach der Veröffentlichung erhielt sie von einem Mann namens Max Sayer aus Südaustralien einen Brief. Es stellte sich heraus, dass Sayer während des "Dritten Reichs" in jenem Dorf in einem katholischen Elternhaus aufgewachsen war. 1937 zog die Familie in das Haus ehemaliger jüdischer Bewohner ein. Es war nur fünf Häuser von dem Haus entfernt, in dem die Familie von Schwartz' Vater seit Generationen gelebt hatte. Nur wenige Monate zuvor war sie nach Amerika geflüchtet. Die beiden Familien waren sich nie begegnet.Sayer hatte seine Kindheitserinnerungen in unveröffentlichten Memoiren festgehalten. In der hier erstmals auf Deutsch vorliegenden Neuauflage von Schwartz' Buch kommen beide Erinnerungen miteinander ins Gespräch. Schwartz verwebt Auszüge aus Sayers Memoiren und den jahrelangen Briefwechsel miteinander. Sie beleuchtet die Geschichte des Dorfes nun aus einem neuen Blickwinkel, der unser Verständnis von Anstand und Dämonisierung vertieft. Angesichts des Wiedererstarkens von Rassismus und Antisemitismus in unserer heutigen Welt erscheint diese Untersuchung wichtiger denn je.