Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Nach den drei wichtigsten Regeln des Filmemachens gefragt, antwortete Billy Wilder bekanntlich: "Du sollst nicht langweilen, du sollst nicht langweilen, du sollst nicht langweilen." Und daran hält er sich auch als 93-Jähriger im Gespräch mit dem Regisseur Cameron Crowe. Niemand ist vor Wilders bissigem Humor sicher, ob Marlene Dietrich, "Mutter Teresa mit schöneren Beinen", Erich von Stroheim, dem er eine Vorliebe für Dessous nachsagt, oder Marilyn Monroe, "ein endloses Puzzle ohne jede Lösung". Cameron Crowe ist ein fordernder Gesprächspartner, immer wieder entlockt er Wilder erhellende Bekenntnisse, über seine Vorliebe für Schwarzweiß oder seinen Sinn für Ausstattung zum Beispiel. Und Wilder erinnert sich: An seine Jugendjahre in Wien, seine Zeit als Journalist in Berlin und die Emigration in die USA, wo er sich als bettelarmer Drehbuchautor zunächst ein winziges Hotelzimmer und Dosensuppen mit einem gewissen Peter Lorre teilte - immerhin im Chateau Marmont.