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Le 25 février 1994, dans la mosquée d’Hébron, une trentaine de fidèles palestiniens furent assassinés par un colon israélien, orthodoxe et nationaliste extrémiste. Par ce crime sans précédent, Baroukh Goldstein entendait faire échouer le processus de paix. Commentant ce massacre, Ezer Weizmann, président de l’État d’Israël, déclara qu’il s’agissait de « la chose la plus terrible qui se soit produite dans l’histoire du sionisme ». Ce n’était ni un « accident », ni le geste d’un fou. À l’arrière-plan, on ne peut ignorer la responsabilité des divers gouvernements qui ont sous-estimé la détermination des colons extrémistes, implantés dans les territoires occupés. Partisans de la violence, hostiles à toute restitution de territoires, certains vont jusqu’à réclamer l’expulsion des Palestiniens du Grand Israël. Le massacre d’Hébron était bel et bien « annoncé », c’est-à-dire prévisible. Le rapport officiel de la commission d’enquête, rendu public en juin 1994, tend à minimiser la signification politique de l’événement et à exonérer les autorités de leurs responsabilités. L’enquête minutieuse – et saisissante – d’Amnon Kapeliouk s’inscrit en faux contre ces explications trop rassurantes.