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Héctor Germán Oesterheld, scénariste culte de la bande-dessinée de science-fiction argentine, fut aussi, avec ses quatre filles, un des fameux « disparus » de la dictature militaire de Videla. Léo Henry le place au centre de son échiquier romanesque comme une pièce à la fois absente et omniprésente d’un jeu infini où la réalité et la fiction sont indémêlables, promenant son profil ombrageux entre les ruines de la ville imaginaire d’Aquilea et les galeries introuvables de la bibliothèque nationale de Buenos Aires. Fil rouge d’un récit que traversent les ombres de Borges ou de Hugo Pratt, sa figure énigmatique plonge le lecteur dans une Argentine méconnue, aussi fascinante qu’étrange.