En 2013, Marguerite Stern est incarcérée en Tunisie pour avoir manifesté seins nus avec les FEMEN. En 2019, de retour à Paris, en réaction contre le nombre de femmes qui meurent assassinées par leurs conjoints, elle lance la campagne de collage contre les féminicides. Elle s'attaque à un domaine dont les femmes ont été dépossédées : la rue. 76% d'entre elles y ont déjà été suivies, harcelées, malmenées. 75% des budgets publics sont destinés aux loisirs masculins.La rue appartient aux hommes.
Dans cet ouvrage écrit à la Féminine Universelle, Marguerite Stern raconte ses engagements et ce qu'elle attend d'un féminisme de combat.
" Ce livre, je l'écris pour toie. Femme qu'on écrase, qui rase les murs. Femme qui n'ose pas parler forte, parce que tu as trop longtemps avalée tes cris. "
" Ce livre, je l'écris pour toie. Femme qu'on écrase, qui rase les murs. Femme qui n'ose pas parler forte, parce que tu as trop longtemps avalée tes cris. "