Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Provokativ, hintergründig und boshaft-komischChristopher Eckers Literatur gilt als spannend, provokativ und hintergründig, aber er hat auch eine boshaft-komische Seite - und diese kommt in seinem neuen Roman »Herr Oluf in Hunsum« voll zum Tragen. Während seine beiden letzten Romane herausragende Beispiele für literarische Phantastik sind, kehrt Ecker jetzt in eine Realität zurück, die sich als ähnlich abgründig erweist - aber mit mehr Ironie aufwartet. Mit seinem »Herrn Oluf« ist Ecker nicht nur in psychologischer Hinsicht das überzeugende Porträt eines zutiefst verunsicherten Mannes gelungen, dem alle liebgewordenen Gewissheiten entgleiten. Außerdem unterzieht der Autor in diesem Buch auch den akademischen Betrieb einer schonungslosen Bestandsaufnahme.Du hättest nicht fahren dürfen! Und zwar nicht, weil du dich derart blamiert hast, dass man dich nie wieder zu einem Kongress einladen würde und du dir vermutlich eine neue Stelle suchen müsstest, sondern weil du Frau und Kind, beide krank, alleine zu Hause zurückgelassen hast.Dennoch fährst du, Professor Oluf Sattler, zu diesem Kongress nach Norddeutschland und der wird weit schlimmer, als du es dir ausgemalt hast. Du machst dich lächerlich, verstrickst dich in einem Gemenge aus alter und neuer Schuld und gerätst auf der grotesken Heimfahrt zu allem Überfluss noch in einen Mordfall. Der könnte zwar peinlicher nicht sein, öffnet dir aber dennoch die Augen für alles, was dir im Leben wesentlich ist - und was du bislang souverän beiseite gewischt hast.Christopher Ecker legt mit »Herr Oluf in Hunsum« ein außergewöhnliches Buch vor, das je nach Blickwinkel ein sehr komischer tragischer Roman oder ein sehr tragischer komischer Roman ist. Spannend und irritierend zugleich, geht es um Verantwortung, späte Sühne und die Frage, wie man als Philosoph berühmt wird, wenn man alle Skrupel fahren lässt.