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Nog nooit verscheen er een roman als ‘Het tegenovergestelde van een mens’. Lieke Marsman kantelt onze ideeën over klimaatverandering en identiteit op een manier die duizelig maakt.
Lieke Marsman in ‘Het tegenovergestelde van een mens’: “Waar het op neerkomt is dat de mensheid als geheel ook eenzaam is. We kunnen er niet tegen dat er niemand iets terugzegt, dat we nog altijd geen dieren hebben horen praten – ja, misschien zo nu en dan in de vorm van het schrille gegil dat onze slachthuizen vult, maar niet met woorden, niet met een oplossing voor de dingen waar we al tijden mee zitten. Zelfs de hemel is leeg. En dus zetten we ons af door al die zwijgende natuur om ons heen te vernietigen, als een wanhopige geliefde die maar niet wordt terug ge-sms't en het in het café op een zuipen zet.”