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Réalisateur d’une salle du musée de l’Infanterie à Montpellier, connu par ses conférences et ses publications, notamment par son Fantassin de France, le général (CR) Pierre Bertin était tout désigné pour écrire une Histoire du 21e R.I. D’autant qu’il garde un souvenir enthousiaste de son appartenance au corps en 1932-1934. Là, répète-t-il volontiers, au sein d’une équipe de sous-officiers où les chevronnés de Verdun donnaient le ton, il a, sur le tas, appris le rudiment du métier. Et dans le climat intellectuel entretenu par quelques officiers de choix, il a discerné la vraie nature de la tradition de notre armée. Il ajoute même : « C’est au 21 que je dois ma vocation d’historien ». On comprend donc que, d’emblée, il ait accédé au souhait des anciens et des amis du régiment. Ceux-ci apprécieront avec reconnaissance la fresque magistrale consacrée par leur camarade à une des formations les plus réputées de l’infanterie française, formation à laquelle tous restent fiers d’avoir appartenu.