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«Partout où l’Europe passe, il faut qu’elle laisse son empreinte, soit politique, soit religieuse. La Polynésie lui appartient désormais. A Hawaii, à Tahiti, l’esprit indigène n’a pas même songé à la résistance ; il s’est livré sans conditions, il s’est résigné au sort du vaincu. Le vêtement national a fait place à un costume sans nom qui a cessé d’être sauvage sans devenir pour cela européen. Toute originalité s’est effacée devant des imitations grotesques, et la race elle-même semble dépérir sous les atteintes de cette contagion que le commerce promène autour du globe avec ses infatigables vaisseaux. La Nouvelle-Zélande n’a pas désarmé aussi promptement : elle a protesté à diverses reprises par des révoltes soudaines et des colères imprévues. Ses mœurs militaires se sont refusées à une assimilation immédiate. L’archipel a tenu tête à l’ascendant européen avant de le subir, et, tout en cédant, il s’est mieux défendu. Aujourd’hui même qu’il se soumet en obéissant à l’admiration plutôt qu’à la crainte, ni ses mœurs guerrières, ni ses allures indépendantes ne semblent être entamées par le contact civilisateur. Ce que la Nouvelle-Zélande demande surtout à l’Europe, ce sont des mousquets, c’est-à-dire les plus énergiques agents de destruction, les derniers raffinements de la force brutale. On peut juger, par ce fait, de ses tendances…»