L'homme n'a pas d'identité. Il s'identifie lorsqu'il se joint librement et immédiatement à un autre pour entendre aussitôt un tiers. Mais qui rencontre-t-il, celui qui me croise ou me regarde passer depuis sa fenêtre ? Une personne ou une qualité ? Une demande imaginaire ? Un signe étrange oscillant entre la liberté et le trouble ? Il est urgent de libérer en l'homme sa hardiesse d'esprit et son franc-parler pour retrouver la force du vivre-ensemble.