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Mit Erich Kästner »längelang am fußboden«. Oder: Wie lustvolles Nicht-Verstehen immunisiert »gegen das einlullende gift der marketingabteilungen, der spinndoktor*innen und demagog*innen«. Ferdinand Schmalz stellt die Krise ins Zentrum seiner Rede: Die Schreibkrise. Die Krise, die der Literatur innewohnt, das Zweifeln und Zaudern, das sie mit formt, ihr Vieldeutigkeit und Qualität verleiht. Die Krise, in die das Lesen eines guten Textes einen stürzen kann. Und auch die krisengebeutelten Zeiten. »krisengelaber« betreibt er freilich nicht. Er empfiehlt vielmehr das Auge des Orkans, »den punkt, wo wir das rad mal anhalten, um die welt mit einem anderen gesicht zu sehen«, wo er seziert, wie das alles zusammenhängt, die Schreibkrise, die Literatur, das Lesen, das Leben, »der punkt, an dem wir selbst ins wanken kommen, uns zaudernd auf die suche nach neuen wegen begeben, wo ein anderes lesen, ein anderes hören beginnt, wo wir mit dem text verwachsen ... dieser kannibalistische moment: wie wir den text verschlingen, verschlingt der text auch uns ...« »sprache wird dort brandgefährlich, wo sie die eigenen mechanismen verschleiert, dort gilt es, das ohr ganz dicht da an die sprache zu halten, um die versteckten hohlräume darunter, die unterirdischen totenflüsse zu hören, die da im untergrund der sprache rauschen.«