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"Vor anderthalb Jahren haben wir bei einem recht ordentlichen Begräbnis das WIE zu Grabe getragen." Und jetzt sind wir im Nu im Bild. In Zsuzsanna Gahses HUNDERTUNDEIN STILLLEBEN. Was da (geschrieben) steht, das steht nicht still, schon gar nicht das Leben. Im Augenschein, im Augenlicht kriegt alles seinen Rand und seine Dauer, wächst zum Bild. "Der Augenblick ist das Stillleben, mein Herz, Aufgehoben sein oder nicht aufgehoben sein, den Augenblick kümmert es wenig, so ist das eben." Dieses Prosabuch ist ein Buch des Belebens, nicht des Belehrens, des Verdichtens, nicht des Verklärens – es ist kein Buch vom stillen Leben, wohl vom gelösten, vom luftigen. Sehensweisen. Also: "Luftanhalten ist das Wichtigste, der Nachmittag wächst immer irgendwohin, das Stillleben liegt im Bett, wo sonst; "die Äpfel rollen vom Tisch ins Feld … Als die Bilder laufen lernten, kam der Film zur Welt, aufgeschrieben bleiben sie (be)stehen. Dieser Blick, allen Büchern Zsuzsanna Gahses eigen, zählt nicht, er wiegt, das eine Bild wiegt Bilderfluten auf. Es geht nicht um Stimmungen, es geht um die Stimmung des Gefühls (der Lesenden). Die Stillleben versprechen nichts. "Ein Augenblick im Leben vergeht. Mal ihn", sagte Cezanne und tat es. Und Zsuzsanna Gahse schrieb HUNDERTUNDEIN STILLLEBEN, Wort für Wort Stillleben. "Auf das Soeben kommt es an, das ist es. Länger oder kürzer unentwegt soeben."