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Lesen lernen, ein richtiges Abenteuer. Martin Frank hat es uns schon mit "ter fögi ische souhung" (1979) und "La Mort de Chevrolet" (1984) erleben lassen, jetzt schafft er das wieder in "i bi nöm bi öich". Die vier Gedichte stammen aus unterschiedlichen Phasen seines Schaffens, doch gemeinsam ist ihnen das Aufsprengen jeder konventionellen Schreibweise der Mundart. Franks Notation des Gesprochenen macht auf dessen Lautform aufmerksam, jenseits aller Festlegungen der Grammatik, und verleiht seinen Texten eine besondere Poesie. Unkonventionell sind diese nicht nur durch ihre Form, sondern auch und vor allem durch die Figuren, die in ihnen sprechen: Ein um seinen Freund trauernder Mitläufer der "bewegig" (ä schöne buep seit adjö), ein Animal Liberation Front Autostopper mit seinem kranken Hund (lobo), ein sich trotzig ausgrenzender, ausgegrenzter Computer-Freak, der Sex sucht und Zuwendung entdeckt (guatboi), und schliesslich ein Aargauer Gerichtspräsident, dem in seinen letzten Tagen aufgeht, was leben heisst (mläder maasi fater).