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Deutsche heißen Günter und Gaby, aber eben auch Fatma und Fatih
Die Art, wie wir über Migration, Geflüchtete und Integration reden, zeigt: Wir haben ein Wahrnehmungsproblem. Wir tun so, als könnten wir ernsthaft entscheiden, ob wir Migranten im Land haben wollen oder nicht, und wenn ja, wie viele wir davon vertragen. Das ist Blödsinn. Sie sind längst da - und ein Teil des »wir«. Die Vorstellung von einer »weißen« Aufnahmegesellschaft, in die Migranten reinkommen, ist eine Art deutsche Lebenslüge, sagt Ferda Ataman. Wie viele andere Deutsche, die mit einem ausländischen Namen aufgewachsen sind, reißt ihr langsam der Geduldsfaden. Sie hat es satt, dauernd erklären zu müssen, wo sie eigentlich herkommt, wie sie zu Erdogan steht oder was sie vom Kopftuch hält. Nur wegen ihres Namens oder des Geburtslandes ihrer Eltern. In ihrer pointierten Streitschrift stellt Ataman fest: »Wir haben ein Demokratieproblem, kein Migrationsproblem. ABER: Wir sind weltoffener, als wir denken. Also Schluss mit Apokalypse.«